Au travers de deux histoires, on entrevoie le vernis de la flegmatique Angleterre, se craqueler.
On trouve à travers les lignes de ce roman, une veuve qui met du beurre dans les épinards, en jouant les comédiennes pour les élèves de première année de la fac de médecine et qui loge des couples d'étudiants chez elle. Lors que l'argent du loyer n'est pas au rendez vous c'est en nature qu'il est réglé. Le couple d'étudiant s'offre en spectacle à leur logeuse; Elle devient témoin de leurs ébats sexuels y trouvant même un petit plaisir coupable.
La seconde histoire concerne un homme narcissique marié qui cache dans la comédie du mariage son homosexualité. Sa tendre épouse va roucouler avec son beau-père et la mère va retrouver une seconde jeunesse l'espace d'un instant d'égarement dans les bras du prostitué de son fils. Mais de cette débauche rien ne filtrera jamais et les apparences seront sauves.
J'ai été un peu déçue. Je ne pourrais pas dire ce qui manque mais il me semble qu'un ingrédient manquait à la recette. C'est sans conteste une critique de cette bonne société, avec une vision acerbe sur des gens à qui l'on donnerait le bon dieu sans confession.
Bonne lecture à vous !!
Haruko
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